dimanche 6 décembre 2015


  Café Littéraire du 14 / 11 / 2015
Le café littéraire de Chlef continue son petit bonhomme de chemin et en cette séance du 14 Novembre 2015, une pléiade de poètes se sont relayés à la tribune pour déclamer leur poésie qui a émerveillé l’assistance. Après les souhaits de 
bienvenue de la part de l’animateur, Saâdoune Bouabdellah et une lecture poétique de sa part, la parole fut donnée au président de cette agora culturelle pour souhaiter la bienvenue à tous les présents exhorter les hommes de lettres et intellectuels de la ville d’El Asnam de se rapprocher de ce lieu qui est le leur et lui donner un nouveau souffle qui permettrait, peut-être, d’attirer notre jeunesse en laquelle nous mettons tous nos espoirs devait-il dire.
Aïda Khélifi fut la première à inaugurer cette après-midi culturelle par la lecture de deux poèmes engagés vantant la patrie.
Lui emboitant le pas, M. Allali Miloud, poète spécialiste du melhoun et du satyrique agrémenta l’assistance d’un poème sur le patriotisme et un autre sur la vie quotidienne du citoyen.
La poétesse Amiche Saliha, nominée dans plusieurs manifestations culturelles locales et nationales, lut un long poème vantant son amour pour le pays et mettant en exergue sa folie patriotique en scandant ses mots et ses rimes.
Le poète Ghazali Elhadj, toujours présent au café littéraire, ramène à chaque fois de la nouveauté dans ses poèmes et sa prose.
La jeune poétesse Widad Zidane n’est pas en reste et nous gratifia d’un beau poème de sa composition.
Ce fut au tour du Dr Medjdoub Ali, chirurgien-dentiste, poète et écrivain, de déclamer plusieurs poèmes en langue française.
Suivit ensuite la conférence de Mohamed Boudia sur l’essai écrit en hommage au chahid Mohamed Boudia dont le titre est : « un homme hors du commun ». Une vente-dédicace a été faite à la suite de la conférence.
La séance ne fut clôturée que vers les 17 heures 30 avec l’espoir de se retrouver tous les samedis au cinéma « El Djamal » pour d’autres conférences dans d’autres thèmes plus pertinents les uns que les autres.


                                                 Mohamed Boudia



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