jeudi 14 avril 2016

 NOTRE RANDONNEE AU VILLAGE DE DAHRA
Dahra : Chef-lieu de commune de la w. de Chlef relevant de la daïra de Taouagrit. Ville côtière et montagneuse, située à 72 km à l’ouest du chef-lieu de la wilaya. Climat : méditerranéen. limitée au sud par la commune de Sidi M'hamed Ben Ali (wilaya de Relizane), à l’est par la commune de Taougrit à l’ouest par la commune de Ouled Boughalem (Mostaganem) et au nord par la mer Méditerranée. Ancien douar qui dépendait de la commune mixte de Ténès, transformé en commune par arrêté du 04 décembre 1956 avec chef-lieu fixé à Souk El Arba (actuellement Sidi Moussa). Supprimée lors de la refonte communale de 1963 et rattachée à Taougrit, puis rétablit de nouveau par la loi de février 1984. S’étendant sur une superficie de 201,64 km 2 (4ème plus vaste commune de la wilaya de Chlef) et comptant une population estimée en 2004 à 24 534 habitants. Evolution de la population : - 3369 en 1881; 7417 en 1958 ; 8045 en 1960 ; 17 711 en 1987 ; 21 284 en 1998. Deux importantes agglomérations : Bordj Baâl et Sidi Moussa. Région à vocation agricole avec ses 1722 ha de surface agricole utile. Disposant d’un massif forestier de 492 ha. Zone touristique vierge. Plage Dechria. Histoire : -17,18 et19 juin 1845 - Enfûmades des Ouled Riah (Ghar El Frachich dans la commune de Nekmaria (Wilaya de Mostaganem) limitrophe de la commune de Dahra. Plus de 760 brûlés vifs (hommes, femmes, enfants, vieillards et bétail) sur ordre du sinistre Pélissier sur ordre du Général Bugeaud, alors commandant de la place à Orléansville. Documentaire diffusé à la bibliothèque nationale d’Alger en 2005. Le taux d’électrification atteint aujourd’hui 98%, l’assainissement avoisine les 30% et l’AEP (eau potable) ne dépasse pas les 20% et non raccordée au gaz de ville. Disposant de 949 km de chemins vicinaux et 05 km C.W (route nationale 0,1 km).

Nous avions pris notre départ de Chlef vers les 8 heures du matin car nous avions besoin d’acheter une bobine pour notre caméra. Les magasins étaient tous fermés à cette heure-là. Il fallait attendre l’ouverture de ces derniers pour pouvoir prendre la route en direction de la nationale pour rejoindre le village de Dahra, situé dans les hauteurs de la chaîne de montagne d’où  il tire son nom.
Nous avions réussi à dénicher un disquaire ou plutôt une discothèque et acheter ainsi notre bobine de film pour notre caméscope numérique. Nous sommes sortis illico presto de la ville de Chlef en passant par le Site préfabriqué de Chorfa pour prendre me prendre (Mohamed Boudia). Nous avons ensuite pris la route qui mène de Chorfa à Sidi Laroussi en passant par le Hameau de Sidi Slimane. Nous empruntons ensuite la nationale 4 sur quelques centaines de mètres puis nous bifurquons sur la droite pour rallier la route de Ain Mérane en passant par la nouvelle route du pont Bouthaiba qui traverse tout le hameau et les vergers de Lard-El- Beida.
Nous  roulions à une vitesse de croisière assez raisonnable et nous commencions à discuter de notre périple du jour. Nous avalions des kilomètres sur un plat presque sans faille jusqu’à l’embranchement de Sobha et Aïn Mérane. A partir de là, nous commencions une ascension vers les hauteurs des monts du Dahra qui prennent leur départ à partir de Sobha pour ne s’arrêter qu’à Dahra, le chef-lieu de ladite commune. La journée s’annonçait très chaude mais dès qu’on a dépassé les contreforts d’Aïn Mérane, nous nous sommes heurtés à une sorte de brouillard non moins épais qui nous masquait tout l’horizon. Nous pensions que c’était seulement la brume du matin et que le soleil allait poindre dans quelques dizaines de minutes pour nous brûler de ses rayons du début de l’été qui s’approchait à grands pas.

Flanc Sud du mont Dahra
Nous montions toujours et nous avions dépassé le village d’Aïn Mérane, celui d’Aïn Serdoune pour nous retrouver en face du village de Taougrite dès qu’on fut à la limite du col d’El Aousdja à la sortie Nord d’ Aïn Serdoune. Taougrite était là, juché sur un piton du Dahra et nous invitait à la rejoindre par la route sinueuse qui y menait. Une quinzaine de kilomètres nous séparait seulement de ce village. Nous piquions vers une descente à l’Est de la Plaine du Gris pour nous retrouver sur le flanc Sud du pic qui hébergeait le village de Taougrite.
Village de Dahra (Vue générale à partir du Nord)
Paysage de Sidi Moussa dans le brouillard (Dahra)

Vue Générale du village de Dahra (Vue du côté Nord)
Carte actuelle de la commune de Dahra
Le cimetière des Chouhadas à Sidi Moussa (Dahra)
La stèle du cimetière des Chouhadas (Sidi Moussa)
Souk hebdomadaire de Sidi Moussa (Mercredi)
Une ancienne moudjahida gardant ses chèvres
Nous nous sommes rapprochés de cette dame et nous lui avons posé quelques questions sur la révolution de 1954-1962. Elle se rappelle tous les noms des moudjahidines qui ont transité chez elle durant la révolution et se rappelle avec amertume  tous les noms de Chouhadas. La nostalgie a pris le dessus chez cette pauvre dame qui nomme ses chevreaux par les noms des Chouhadas et elle discute avec eux comme si elle parlait à des êtres humains en les fustigeant de l’avoir quittée trop tôt. Quand elle les appelle, ses chevreaux se rapprochent d’elle et l’écoutent attentivement. C’est un miracle. Nous avons assisté à plusieurs reprises à ce tableau qu’elle avait bien voulu répéter avec différents chevreaux de son troupeau. Par moments, on la prend pour une folle mais la plupart du temps, on sent qu’elle est très lucide et mérite qu’on l’écoute lorsqu’elle commence à débiter ses chansonnettes relatives à la révolution et aux moudjahidines. Elle en pleure aux larmes puis éclate de rire pour nous souhaiter la bienvenue. Sur la photo, elle est en train de discuter avec un chevreau qu’elle nomme  « Si Lakhdar » et elle le fustige et lui dit qu’il est arrogant dans sa prestance et qu’il se moque d’elle car elle est devenue vieille et que lui  est toujours jeune. C’était pathétique. Cela vous donne les larmes aux yeux lorsque vous entendez ce dialogue de sourds.
La nouvelle mosquée du village de Dahra
La nouvelle mosquée de Sidi Moussa (Dahra)
Le nouveau CEM de Dahra
Ghar El Frachich dans la commune de Nakmaria (W.de Mostaganem à la limite de la commune de Dahra
Dans ces grottes, le Colonel Pélissier, ce sinistre sieur a fait enfumer plus de mille personnes avec corps et biens sur ordre de Bugeaud qui lui avait dit de suivre l’exemple du Général Cavaignac  avec les Ouled Sbih
Grotte qui a servi aux enfumades d’Ouled Riah (Ghar El Frachich) par le Colonel Pélissier sous le commandement du Général Bugeaud qui était Cdt de la place forte d’Orléansville.

Grottes de « Ghar El Frachich »
Grottes de « Ghar El Frachich » à Nekamaria (Mostaganem)
Barrage chevauchant sur la commune de Dahra (Chlef) et la commune de Nekmaria (Mostaganem)
Vue générale du Barrage de Nekmaria (Mostaganem)
Interview d’un notable de la région à Sidi Moussa (Dahra) W. de Chlef
Falaise se trouvant du côté de Sidi Moussa (Dahra) W. de Chlef
Stèle commémorative d’une bataille qui s’est déroulée sur ces lieux-mêmes et qui a vu les moudjahidines tuer plus de deux cents soldats français et avaient récupéré plus de cent soixante-dix-neuf armes.
Stèle commémorative vue du côté Nord


Mohamed Boudia (écrivain) interviewant un centenaire dans le bourg de Sidi Moussa (Dahra)

Fort à Dahra (Sidi Moussa) occupé par les forces françaises d’occupation qui servait en même temps de camp militaire, de centre de torture et de prison.

Photo souvenir prise devant le cimetière des « Chouhadas » à Dahra
Mohamed Boudia (écrivain) interviewant Mr El Afer, directeur d’école en retraite sur la région et ses particularités.
Nouvelle mosquée à Sidi Moussa (Commune de Dahra- Chlef)
Paysan transportant des gerbes de blé sur son âne aux fins de battage dans la région de Sidi Moussa (Dahra – Chlef)
Vignoble à la sortie Nord du village de Dahra (W. de Chlef)

- Cent dix-sept ans, qui dit mieux !

Nous sommes un dimanche pas comme les autres. Nous avions donné rendez-vous aux services de l’APC de Bou Kader pour qu’ils prennent attache avec les services de sécurité (Gendarmerie Nationale) pour nous accompagner dans notre périple à travers la commune de Bou Kader. Nous avions entendu que celui qui ne visite pas le « puits du diable » ne connaît point la commune de Bou Kader. Dans notre tâche qui a été chapeautée par Monsieur le Wali de Chlef pour l’écriture d’un livre toponymique de la wilaya de Chlef, daïra par daïra et commune par commune, nous étions obligés d’aller visiter ce lieu si intrigant et si mystérieux qu’est « Bir Djeneb » ou le « Puits du Diable » comme on a tendance à l’appeler dans la région de Bou Kader.
Nous nous sommes présentés à l’APC et le secrétaire n’a même pas daigné nous gratifier d’un petit bonjour, notez bien que le Président de l’APC était en congé et nous insistâmes pour être reçus par le premier vice-président qui fut désolé de ce qui nous arrive. Il téléphona au Secrétaire Général qui lui dit qu’il n’a pas encore avisé la Gendarmerie et qu’il ne leur a pas remis la lettre de Monsieur le Wali pour nous prêter assistance dans notre périple à travers la Wilaya de Chlef. Le premier vice-président nous assura qu’il allait lui-même prendre les dispositions nécessaires pour notre sécurité et qu’il allait nous fixer un rendez-vous prochainement après avoir pris rendez-vous avec les services de sécurité. Sur ce, nous le remerciâmes et nous prirent congé en lui souhaitant bon courage pour sa tâche ardue car c’était un jour de réception du public qui attendait devant la porte du bureau de Monsieur le Président de l’APC.
Après concertation et vu que nous n’avions plus rien à faire, nous avions décidé d’un commun accord, Monsieur Mohamed Tiab et moi-même (Mohamed Boudia) de rendre visite à Monsieur le Président de l’APC d’Aïn Mérane, Bénaceur Ahmed.  La commune est située à quelques vingt kilomètres de Bou Kader. Avant d’entamer notre ascension vers Aïn Mérane, nous avions pris soin de prendre rendez-vous avec Monsieur le Président de l’APC d’Aïn Mérane qui se dit ravi de nous accueillir lui-même et qu’il nous attendrait au siège de l’APC. Effectivement, arrivés à Aïn Mérane, il était là à nous attendre sans faute aucune. Il nous invita dans son bureau et nous avons parlé de notre mission et nous lui avons présenté un travail concernant la création d’un site internet pour la commune d’Aïn Mérane. Il en fut ravi et nous demanda d’accélérer la confection de ce dernier.
Après avoir pris congé de Monsieur le Président de l’APC d’Aïn Mérane, nous avions téléphoné à Monsieur le Président de l’APC de Dahra pour lui demander s’il était disponible et s’il pouvait nous attendre pour que nous puissions prendre attache avec la doyenne de la commune (117 ans). Monsieur le Président de l’APC de Dahra nous confirma qu’il nous attendait et qu’il était ravi de nous recevoir et qu’il nous accompagnerait en personne chez cette dame. Arrivés à Dahra, nous fûmes invités avec Monsieur le Président de l’APc, 
  
Nous distinguons de gauche a droite (M. Gramzi Ahmed, agent d’administration a la commune de Dahra, M. Aichour aissa, fils aine, Mme Aichour Halima, M. Aïchour Ahmed, cadet) – sur la 2eme photo (Mme Aichour Halima, debout seule).
                          
Mme Aïchour seule  (née présumée en 1893 à Dahra)

Photo souvenir prise avec Mme Aichour Halima
De g. a d. (Aichour aissa, fils aine, Gramzi Ahmed, employé à la mairie de Dahra, Monsieur le Président de l’APC de Dahra, Mme Aichour, Aichour Ahmed, fils cadet,  El Afer Mohamed, Mohamed Boudia)
Sur la deuxième photo, Mohamed Tiab à la place de Mohamed Boudia.
Cette dame a exactement 117 ans et se suffit a elle-même et se déplace sans l’aide de personne. Elle est veuve, son mari l’ayant quitte plus tôt. Elle a eu quatre fils avec son défunt mari, deux sont décédés, et deux sont toujours en vie (Aissa, son aîné et Ahmed son cadet). Elle se rappelle presque de tout ce qu’elle a vécu avant et durant la révolution. Mme Aichour Halima bent Belgacem et de Kheira, je ne sais pas mon âge, à la question de savoir que pouvait-elle nous raconter de sa vie, elle nous apprend qu’elle s’est mariée a deux reprises et qu’elle s’était mariée à Ouled Abdallah et qu’elle a eu quatre fils de son deuxième mariage dont  deux sont morts et deux sont encore en vie, l’aîné Aissa et le cadet Ahmed. Je me rappelle du caïd « El Oukil », quand nous étions petites, nous faisions de la poterie et nous tissions. Durant la révolution, nous avons souffert et nous ne pouvions rester à la même place, nous étions pourchasses par les troupes françaises et nous subissions le martyre, a la question si son mari la battait, elle répondit qu’elle n’a jamais été battue par son mari et qu’il la respectait beaucoup. Que pensez-vous Mme des temps de la disette, durant le temps des vaches maigres, elle nous a répondu qu’ils avaient mange de la « talghouda » et d’autres herbes « el bgouga » et bien d’autres afin de ne pas mourir de faim. Nous lui avons demande si elle voulait avoir un logement dans les bâtiments H.L.M., elle a refuse catégoriquement prétextant qu’elle ne pouvait pas y vivre. Nous lui avons demande si elle connaissait quelque chose des batailles qui se sont déroulées dans la région, elle nous répondit qu’elle les connaissait mais qu’elle ne savait point l’issue des batailles mais que d’après les gens, il y a eu beaucoup  de morts dans les rangs de l’armée française.
Nous avons essayé de la ménager et nous avons pris congé d’elle et de ses deux enfants. Nous sommes revenus vers le siège de l’APC où nous avons pris des photos de Monsieur Gramzi Ahmed  pour lui faire un portrait dans notre ouvrage car nous pensons qu’il est unique dans son genre et sans complexe aucun.
Nous pensons que cette dame est la doyenne de la commune de Dahra, et peut-être même de toute la région et pourquoi pas de la wilaya entière et peut-être même au niveau national. Il serait judicieux de la part des autorités locales de la gratifier, de lui organiser une petite fête en son honneur et pourquoi pas l’envoyer aux Lieux Saints de la Mecque. Elle et ses enfants sont issus d’une couche très pauvre et méritent d’être aidés. D’après nos investigations, il s’est avéré que c’est le nom des « Aïchour » qui est le plus ancien dans la région de Dahra.
Nous tenons ici, à remercier tous ceux qui nous ont permis de réaliser cette randonnée et cette interview auprès de Mme Aïchour Halima que nous remercions vivement de nous avoir reçus et permis de faire un brin de causette avec elle. Nos remerciements vont en particulier à Monsieur le Président de l’APC de Dahra, à Monsieur El Afer Mohamed, ex-directeur d’école ainsi qu’à Monsieur Gramzi Ahmed, agent d’administration à la Mairie de Dahra. Nous tenons aussi à remercier toute la population du village et de la commune de Dahra pour leur précieux concours qui nous a permis de concrétiser notre but que nous voulons culturel et historique nécessaire et indispensable aux générations futures.
(Texte rédigé par Mohamed Boudia,ecrivain)                                     


Enfants dans le village du Dahra, jouant avec des engins mécaniques qu’ils ont fabriqués eux-mêmes.

Photo souvenir de G.àD. Mohamed Boudia et le Président de l’APC de la commune de Dahra (Wilaya de Chlef)
                             Interview de Mohamed Boudia Écrivain à Chlef 
                                                                 Par
                                        Monsieur Ghris Mohamed, journaliste
                                             «  Le Courrier d’Algérie »  


1° Question : Monsieur Mohamed Boudia, pouvez-vous vous présenter au public, lecteur du quotidien "Le Courrier d'Algérie" ?
Réponse : Je suis né en 1944 à Chlef et je suis cadre de l'enseignement actuellement en retraite. Je suis marié et père de huit enfants. J'ai commencé à écrire depuis les années soixante mais je n'ai pu publier faute de connaissances et de moyens.
2° Question : Quels sont les romans que vous avez publiés jusqu’ici, et pouvez-vous nous fournir un résumé de chacun d’eux ?

Réponse : En effet, j’ai écrit plusieurs romans qui sont en ligne sur Internet et en Librairie en France et au Canada. Je peux vous les citer avec les éditeurs concernés et vous donner aussi un résumé sur chaque roman ou livre.

« Manar, l’enfant de l’espace » Chez Edilivre – Editions APARIS














:« Rapt au Sahara » chez Edilivre – Editions APARIS

« La cage et l’envol » chez Edilivre – Editions APARIS
                                                          Résumé « La cage et l’envol »
             Pourquoi, la cage et l’envol ? C’est l’histoire d’un jeune qui se sentait compressé dans la routine quotidienne de sa vie monotone en Algérie. Il se voyait dans « une cage », enfermé loin de ce qui se passait dans le monde. Il était avide de connaissances. Il voulait voyager, voir du pays, rencontrer des gens, d’autres cultures. Pour lui, c’était « l’envol » vers des horizons lointains. Ne dit-on pas que les voyages forment la jeunesse ?
Le roman est en lui-même un chef-d’œuvre qui retrace la vie d’un jeune algérien en mal d’impatience. Il essaya tous les créneaux pour réussir dans la vie. Il était joueur. Il ne ratait aucun jeu de hasard. Un jour, Il gagna une grosse somme d’argent au pari sportif algérien et se permit de réaliser ses rêves les plus fous. Il partit en Europe passer quelques semaines de vacances et voir du monde. Il était avide de connaître d’autres peuples, leurs coutumes et leurs cultures. Il pensait que cela lui apporterait un plus dans sa vie banale. Il fit la connaissance d’une américaine avec laquelle il se maria après l’avoir rejoint à New York où elle habitait avec ses parents. Il trouva du travail, mais il n’était pas à l’aise. Il était l’objet de propos racistes et discriminatoires. Des policiers le prenaient à partie et lui cherchaient la petite bête. Son égo ne pouvait plus supporter les sarcasmes de ces policiers racistes. D’autres jeunes se mirent de la partie. Il vivait d’une façon très stressée et ne pouvait plus supporter cette vie pleine d’aléas et de racisme. Il ne se passait pas un jour sans qu’il  soit abordé par des jeunes qui l’invectivaient et le tabassaient. Arrivé au bout du rouleau, il ne pouvait plus supporter les agissements des uns et des autres. Comme il était un très grand sportif en arts martiaux, il donna une tannée à des jeunes, puis à des policiers américains. Il fut arrêté et incarcéré.  Au moment où on l’emmenait au tribunal, il essaya d’échapper à ses gardes pendant qu’on lui enlevait ses menottes à l’intérieur de la salle d’audience.  Il fut tabassé sauvagement par ses gardes-chiourmes. Il fut condamné à cinq ans de réclusion criminelle. Les autorités judiciaires de la ville le classèrent dans la catégorie des dangereux et ont décidé son transfert dans une prison de haute sécurité. Il devait être transféré par avion vers une autre prison de haute sécurité. Durant le vol, prétextant aller aux toilettes, il put assommer l’un de ses gardiens et lui prendre son révolver. Il entra dans la cabine de pilotage et braqua son arme sur le pilote en lui demandant de prendre la direction d’Alger. Toutes les tractations entamées par les services de police et les services judiciaires à New York ne purent venir à bout de la réticence de Rachid qui n’avait plus rien à perdre. Il leur répondit qu’il ne reviendrait nullement sur sa décision et qu’il ne faisait confiance à aucune structure. Il voulait seulement rentrer chez lui et goûter les rayons du soleil de son beau pays. Après une escale à Paris, Rachid fut relancé par l’Ambassadeur des USA et l’Ambassadeur d’Algérie mais  Rachid ne voulait rien savoir. Il leur dit qu’il ne ferait confiance à aucun responsable tant qu’il n’aura pas touché le sol de sa patrie. L’avion se dirigea vers Alger où Rachid se rendit aux autorités de son pays. Il fut pris en charge par la suite par les services secrets algériens qui le déclarèrent  condamné à mort et fusillé. Mais il fut intégré aux services secrets et put rendre des services à son pays. Il devint l’espion n° 1 et on lui donna le pseudo de SM1. Il fit plusieurs missions à l’étranger et de par ses capacités d’homme de théâtre, il se déguisait comme bon lui semble et parvenait toujours à échapper aux agents de l’I.S., de la CIA et du Mossad. Il était presque insaisissable. Il put même s’introduire à Tel-Aviv et créer un réseau de renseignements qui permit aux pays arabes plusieurs gains de batailles en 1973.  Il termina sa carrière dans les services diplomatiques à l’étranger, puis dans des postes politiques qu’il n’aimait guère mais qu’il était obligé d’accepter, n’ayant pas d’autre alternative. La morale qu’on peut tirer de la trame du roman, c’est que le pays qui nous a vu naître est notre patrie et quoi que l’on fasse et quoique l’on s’en éloigne, nous devenons nostalgiques au bout de quelques années, et l’appel de la terre, c’est-à-dire de la patrie, se fait plus pressant et on essaie de rentrer au pays par tous les moyens, même si l’on n’a pas réussi sa vie ailleurs. Je rends ici hommage à Dahmane El Harrachi qui a si bien décrit cette morale dans sa chanson « ya rayah ».




















« Algérie, mon histoire » chez Simpleedition (Canada)






Nouvel auteur : Mohamed Boudia aime son pays, l’Algérie, dont il nous retrace, tel un gentil professeur d’histoire, le passé tumultueux en remontant jusqu’aux années 1800. Car la colonisation de ce magnifique pays, aux habitants si doux et si cultivés, ne date pas d’hier. Dans un style direct et simple, vous revivrez les moments forts de tous ceux qui ont foulés son sol.

« Délit de fuite » chez Les Editions « Le Manuscrit »
 « Mémoires de Mohamed ATTAF » chez The Book Edition


couv-products-1094           R E S U M E
                 L’histoire qui est contée dans ce roman concerne une page infime de la guerre d’Algérie et la résistance à l’occupation de mon pays par les forces coloniales françaises. Elle relate la vraie histoire d’un jeune nationaliste,                

ayant fait ses premiers pas dans ce domaine dans les rangs des Scouts Musulmans Algériens vers les années cinquante. C’est là, effectivement que prit naissance la conscience de ce jeune, qui devint par la suite un résistant de premier ordre. Il fut intégré, une première fois comme fidaï. Par malchance, il fut arrêté par les services des renseignements généraux français et torturé. Il fut par la suite condamné par un tribunal militaire à quinze années de travaux forcés. Ses compagnons ont écopé beaucoup plus que lui. Certains ont même été condamnés à mort. Il se sauva de la prison où il était incarcéré et rejoint les rangs de l’A.L.N pour continuer la lutte qui devait conduire le pays à l’indépendance, le 5 Juillet 1962.

« La conque de Vénus – Ouad’â et ses sept frères » chez The Book Edition

couv-products-2309    - R E S U M E –
 Ce roman n’est pas une histoire inventée de toutes pièces par l’auteur, mais bien au contraire une légende qui lui a été racontée à plusieurs reprises par ses parents dans son jeune âge. Elle relate l’extraordinaire aventure d’un souverain, de sa femme, de ses enfants et de ses esclaves. L’acteur principal de cette légende étant Ouad’â, fille du souverain, et ses sept frères qui ont été éloignés par tous les moyens, par les esclaves attitrés auprès de leur mère et père. De par cette légende, l’auteur a voulu nous mettre en communication avec tous ses acteurs afin de pouvoir déceler sa conformité avec la réalité actuelle de la vie sociale et les aléas qui guettent les membres de cette société. La légende est une leçon de sociologie qui nous amène à prendre en compte toutes les petites choses qui nous passent sous le nez, comme futiles et qui, pourtant sont aussi essentielles que les meilleurs sujets de notre vie quotidienne. Vous ne vous ressasserez et vous ne vous lasserez jamais de la lecture de cette légende qui vous prend à bras-le-corps et vous emmène loin des vicissitudes de la vie courante et vous transporte dans un monde irréel, légendaire et fantastique par moments. Vous vous croiriez en plein dans les contes des mille et une nuits.
                                                                                              Mohamed BOUDIA

« Un meurtre pour alibi » chez The Book Edition


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R E S U M E –


                         C’est l’histoire d’un meurtre qui a vu son exécutant relaxé par la justice après avoir fourni comme alibi un autre meurtre. L’enquête de police qui a été menée n’avait rien donné et le coupable fut relaxée par la cour, le procurent de la république ayant été confondu par les témoins de l’accusation et par les faits qui étaient plus que probants dans cette affaire. Je n’en ajouterais pas plus, le lecteur découvrira par lui-même les résultats de l’enquête.
« La Sicile en proie aux OVNI – ATLANTIS »                                        
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R E S U M E
                      C’est un roman de science-fiction dont la trame part d’une réalité sur le terrain d’une petite île sicilienne où l’on a enregistré des manifestations d’entités électromagnétiques qui ont porté atteinte aux populations résidant dans l’île. Des experts du monde entier sont venus s’enquérir de ses manifestations extraordinaires qui ont touché une partie de la population de l’île. Le thème du roman  fait appel à plusieurs acteurs de la vie civile et militaire ainsi que sécuritaire pour essayer d’étayer  l’histoire et la trame du roman. Il s’avère vers la fin que c’est une poignée d’entités renégates qui avaient fui d’Atlantis, la terre engloutie dont parlait Platon qui situait cette terre « Atlantide » engloutie au large du détroit de Gibraltar. Plusieurs savants et chercheurs ont été conviés pour essayer d’approfondir les recherches sur ces manifestations. Il avait même été fait appel à des exorciseurs du Vatican qui ont conclu que c’était l’œuvre de Satan. A la fin, un professeur d’université et son ex-élève ont pu dénouer l’énigme en donnant la vraie définition de ces manifestations et leur situation dans le temps et l’espace et ont pu entrer en contact direct avec ces entités nébuleuses qui n’étaient autres que les habitants d’Atlantis, la terre engloutie dont parlait Platon dans ses écrits et qu’on avait pris pour un demeuré dans son temps et traité de lunatique et de rêveur. En définitive, un pacte est signé entre les dirigeants italiens et les dirigeants d’Atlantis pour non agression et la poignée de renégats a été annihilée par les forces d’Atlantis, la terre engloutie. Dans ce roman, l’idée est qu’il ne faut jamais jurer de rien et que même si certaines manifestations nous touchent de près ou de loin, ne pas les ignorer et en tenir compte. Qui peut dire ce que nous réserve le lendemain ? D’après les savants et chercheurs, n’existe-t-il pas deux mondes parallèles ? Avons-nous seulement défriché le terrain en ce qui concerne le « Triangle des Bermudes » ? Avons-nous vraiment tout étudié et sommes-nous arrivés au summum de la science pour dire que ces manifestations n’ont pas eu  lieu ou n’auront pas lieu dans un avenir peut-être plus proche que nous le pensons ?

                                                                       Mohamed Boudia       





« Mon père, cet être exceptionnel » chez The Book Edition294-3377-16



 « Le Trésor de Karoune » Chez The Book Edition

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C’est une histoire véridique qui s’est passée dans la région de Chlef. Elle a été configurée en roman par l’auteur. Elle raconte les péripéties d’une famille à la recherche d’un trésor ancien, datant de l’antéchrist. Un père et ses enfants partis à la recherche de ce trésor se retrouvèrent catapultés dans un monde parallèle d’où ils ne purent échapper que grâce à la perspicacité de leur père et son savoir-vivre.






« Réflexions sur l’enseignement en Algérie » chez The Book Edition



                                              - RESUME –

                      Ce livre retrace les différentes phases par lesquelles a transité l’école algérienne durant ces dernières années. Un historique concernant l’école dans tous ses aspects a ouvert cette étude combien modeste de notre part et qui pourrait contribuer, nous le pensons sincèrement, à la relance de l’éducation et de l’enseignement dans notre pays. Nous pensons avoir apporté un peu d’eau au moulin de l’éducation et de l’enseignement avec des propositions très modestes certes, mais qui pourraient donner un plus pour les élèves et les professeurs et diminuer de la tension qui leur tombe sur les épaules depuis des décennies par les refontes de l’enseignement qui se suivaient et qui ne reflétaient en rien les aspirations des uns et des autres dans le contexte purement éducatif et social. Nous avons proposé un modèle qui pourrait être entamé sans dépenses supplémentaires quant aux infrastructures existantes déjà. Pour le côté pédagogique, la création de quelques postes supplémentaires serait la bien venue si nous voulons éviter les heures supplémentaires pour les professeurs (même pas cinq pour cent (5%) de l’effectif global des enseignants actuellement en poste. Il est indéniable que l’enseignement comme il est dispensé actuellement ne fait qu’augmenter la déperdition scolaire et voue tous les acteurs (enseignants et élèves) à une marginalisation pédagogique intrinsèque qui ne peut que nuire à l’envol de l’éducation et de la culture vers des rivages salvateurs. Il est des plus urgent de faire participer la base de l’éducation afin de ne pas autocratiser l’enseignement comme cela s’est fait tout au long des années précédentes ce qui a amené les échecs en série de toutes les refontes de l’enseignement dans leur ensemble. Le devoir de tout un chacun actuellement est de faire aimer l’école à l’enfant par des méthodes pédagogiques propres et lui faire aimer la lecture et les belles lettres afin de le motiver et d’en faire un émule au sein de la société éducative.

                                                                       Mohamed Boudia





« L’évasion spectaculaire » (doit sortir incessamment chez les Editions « Le Manuscrit
           Ce roman n’est pas encore sorti )

3° Question : Vos livres publiés en France ne semblent pas disponibles sur le marché algérien, pourquoi ? Avez-vous des suggestions pour leur divulgation en Algérie ?
Réponse 3 : Leur disponibilité en Algérie relève du manque de cohésion existant au niveau de la bibliothèque nationale qui ne recherche point les nouveaux auteurs. Par ailleurs le prix affiché de ces romans n’est pas  à la portée de la petite bourse algérienne.
C’est très simple, il suffirait que l’un des différents éditeurs prenne la peine d’accepter de les éditer, le reste je m’en charge avec les maisons d’édition primaires.
4° Question : Que pensez-vous de la littérature algérienne ? (libre choix de se prononcer sur la littérature algérienne  d’expression française), uniquement, ou dans ses autres dimensions (l’arabe et le tamazigh) ?
Réponse 4 : La littérature algérienne francophone a pris une certaine ampleur depuis l’avènement du multipartisme et de la liberté d’expression (sic) mais elle est toujours au stade embryonnaire car le lectorat existe. Le seul handicap pour l’auteur francophone actuellement, c’est la difficulté de se faire éditer en Algérie, alors, la majorité se font éditer  one line ou à compte d’auteur en France ou au Canada. Les écrivains francophones foisonnent en Algérie, malheureusement ils sont méconnus du public Algérien car il est quasiment impossible de trouver leurs livres et romans sur les étals des librairies algériennes. Dans les autres dimensions de la littérature algérienne telle l’arabe et le tamazigh, nous pouvons dénombrer beaucoup d’auteurs connus et méconnus car en matière de librairie, nous sommes le pays le plus pauvre. Pour l’arabe et le tamazigh, le lectorat existe mais c’est le marketing culturel qui est inexistant dans notre pays.
5° Questions : A vous  le soin de conclure, Monsieur Boudia ?
Conclusion : Je pense, pour ma part, qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire pour peu que les autorités en charge de la culture tant à l’échelle locale que nationale prenne en main la situation et essaient de créer des prix littéraires qui pourront drainer tous les auteurs francophones et des autres tendances telles l’arabe et le tamazigh. La difficulté réside, en Algérie, dans le système de l’édition. Le système utilisé est celui de l’auto édition ou une participation assez conséquente est demandée à l’auteur. C’est ce qui freine l’élan de la créativité dans ce domaine. Notre système d’édition est très en retard par rapport à ce qui se pratique dans le monde. En effet, le système utilisé dans les autres pays dits industrialisés, est le système numérique d’impression à la demande (je m’explique, le tapuscrit est converti en fichier électronique et après en un seul clic vous pouvez tirer un ou plusieurs livres reliés à la demande. Les stocks de livres perdus n’existent plus et c’est pour cela que les éditeurs à l’étranger ne demandent pas d’apport de la part de l’auteur. Il lui est alloué une marge bénéficiaire de 10% sur les ventes. Pour conclure, je dirais que les services culturels devraient se pencher sur le problème et se mettre au diapason afin de donner un nouvel élan à l’édition. D’un autre côté, je pense qu’il faut encourager l’ouverture de librairie dans toutes les villes et villages d’Algérie afin de mettre le livre à la portée du lecteur potentiel qu’il faut dénicher pour l’amener à lire et à acheter le livre.
Ce dernier doit reprendre sa place dans la société. On devrait éduquer nos enfants à lire, à lire, à lire, c’est le meilleur moyen de se cultiver.
J’ai plusieurs projets ficelés qui n’attendent que l’impression ainsi que plusieurs projets d’écriture en gestation ou en phase de finition qui n’attendent qu’un petit déclic du monde de l’édition.


lundi 11 avril 2016

NOUVELLESDALGERIE: CAFE LITTERAIRE DU 9 AVRIL 2016 ANIME PAR LE Dr AM...

NOUVELLESDALGERIE: CAFE LITTERAIRE DU 9 AVRIL 2016 ANIME PAR LE Dr AM...: Le café littéraire de Chlef continue sur sa lancée et tous les samedis que Dieu fait, les adeptes du café littéraire se réunissent pour ...

CAFE LITTERAIRE DU 9 AVRIL 2016 ANIME PAR LE Dr AMICHE LARBI


Le café littéraire de Chlef continue sur sa lancée et tous les samedis que Dieu fait, les adeptes du café littéraire se réunissent pour goûter à la plénitude d'une nouvelle conférence et de nouveaux poèmes écrits et déclamés par leurs auteurs. Monsieur Hrache Beghdadi dit Kaddour, musicien attitré du Café Littéraire de Chlef, comme à son habitude, gratifia l'assistance d'une série de "stikhbarate" orientales qui émerveillèrent les adeptes et invités du café littéraire de Chlef.

Monsieur le Dr AMICHE Larbi, chef du département de langue arabe au niveau de l'Université Hassiba Benbouali à Ouled Farès (Chlef). Le thème choisi est le titre d'un des livres écrits par le conférencier et dont le titre est  "Mahmoud Derwiche - Béite Ech-Chî3r El Falastini" qui veut dire "Mahmoud Derwiche, le fief de la poésie palestinienne".
Monsieur Saâdoune Bouabdellah faisant office de maître de séance, fit monter deux poétesses à la tribune, en l’occurrence, Mlles Hamou Ahlem et Douma-Bouthiba Samia.
Elles ont déclamé leurs poèmes, l'un en prose et l'autre en rimes. Puis ce fut au président du café littéraire, Mohamed Boudia,de souhaiter la bienvenue au conférencier avec une petite présentation succincte de ce dernier. La parole fut ensuite donnée au Dr Amiche Larbi.

Monsieur le Dr Amiche commença par se présenter biographie et bibliographie oblige aux membres du café littéraire présents dans la salle. Pour un premier temps, il retraça la vie de Mahmoud Derwiche et le plaça par la suite dans le contexte des différentes phases poétiques en disant que le poète a commencé dans les années quarante par une poésie plus ou moins engagée dans une ligne partisane, puis avec l'évolution des événements en Palestine, il fut obligé de s'engager dans une nouvelle étape pour soutenir la révolution palestinienne par une poésie militante. La troisième phase de sa vie poétique fut l'entrée dans le militantisme pour la libération de la Palestine et dut vanter  cette dernière et devint militant parmi les grands de cette  révolution palestinienne. 

La conférence fut suivie avec une attention particulière et avant de passer aux débats, M. Saâdoune Bouabdellah donna l'occasion aux autres poètes présents dans la salle de déclamer leur poésie tels Mokhtari Mansour et Benahmed Djamila. A chaque phase, M. Saâdoune laissait libre cours à ses pensées et gratifie à chaque fois, l'assistance d'un de ses poèmes, critique de la vie et ce, afin de permettre au Dr Amiche de souffler un peu avant les débats qui s'annoncèrent très pertinents de la part du Dr Medjdoub Ali, de M. Nekkaf Aïssa, de M. Saâdoune Bouabdellah, du Dr Aït Djida Mokrane, de Melle Abib Zohra, députée, de M. Chohra Abdelkader, ex-inspecteur de l'enseignement ainsi qu'en définitive par Mohamed Boudia, président du café littéraire. 

Les questionnements furent très pertinents de la part de l'assistance et les réponses furent on ne peut plus précises et pertinentes de la part du Dr Amiche Larbi qui s'est félicité d'être parmi cette frange de la population de Chlef, amoureuse des belles lettres et adepte du café littéraire. 

Un diplôme de reconnaissance a été remis au Dr Amiche par M. Berkane Nasser, adepte et sponsor du café littéraire. Avant que l'assistance ne se sépare, une photo-souvenir a été prise avec l'ensemble des présents autour du Dr Amiche Larbi.

 




Mohamed Boudia - Écrivain-auteur - Président du café littéraire de Chlef - Vice-président de l'Association Nationale Héritage Algérie -