Taougrit, Chef-lieu de commune et de daïra dans la wilaya de Chlef. Ex- Paul Robert. Située à 59 km du chef–lieu de la wilaya et à égale distance (18 km) de Sidi M’hamed Ben Aouda et Aïn Mérane Constitue avec la commune de Dahra un chef- lieu de daïra.. Superficie : 182,42 km2. Population : 24 267 (1998), 27 972 (2004). Historique : Village fondé en 1911. Il doit son nom à l’ancien maire d’Orléansville – Paul Robert- tué à Alger en 1910 lors d’un duel avec René Houbé, durant les législatives de 1910. Commune créée par arrêté du 04 décembre 1956. Pendant la révolution, le FLN réussit à assassiner le maire de la commune, M.Degreau. Denses forêts (fabrication de pipes de 1926 à 1932. Dès 1920, une cave coopérative (existe à nos jours) est mise en chantier avec une capacité de 50.000 hl. La région reçue la visite en 1932, de Paul Robert (22 ans), auteur du dictionnaire « Le Petit Robert » ainsi que de l’encyclopédie de la langue française en sept (7) tomes et plusieurs autres ouvrages et dictionnaire. En 1950, Naegelen, gouverneur général de l’Algérie et en 1952, de Philippe Lamour, alors président de la viticulture. Ville natale de René Rivière, ancien préfet en métropole. 1945 - l’électricité est introduite pour la première fois.
RETENUE
COLLINAIRE OUED BOU KOUROUN TAOUGRITE
Nous avions pris le départ de Chlef vers les coups de 9 heures du matin. Nous nous étions donné rendez-vous devant la grande mosquée de la ville de Chlef. Nous avons pris la route qui va jusqu’à Sidi Laroussi pour enjamber ensuite le Chéliff et rejoindre la route qui mène vers Aïn Mérane, Taougrite, Dahra et qui débouche sur le littoral de la wilaya, dans le village d’El Guelta. Nous avions traversé le nouveau pont du Chéliff, en contrebas de la Zone Industrielle de Oued Sly et nous avions traversé de part en part, la localité d’Ard-El-Beida, pour rejoindre la route qui nous mènerait à Aïn Mérane puis à Taougrite. Tout au long du périple nous discutions des dispositions à prendre et du plan que nous devions observer pour commencer notre travail de recherche et de listing des endroits que nous devions visiter.
Nous avions pris le départ de Chlef vers les coups de 9 heures du matin. Nous nous étions donné rendez-vous devant la grande mosquée de la ville de Chlef. Nous avons pris la route qui va jusqu’à Sidi Laroussi pour enjamber ensuite le Chéliff et rejoindre la route qui mène vers Aïn Mérane, Taougrite, Dahra et qui débouche sur le littoral de la wilaya, dans le village d’El Guelta. Nous avions traversé le nouveau pont du Chéliff, en contrebas de la Zone Industrielle de Oued Sly et nous avions traversé de part en part, la localité d’Ard-El-Beida, pour rejoindre la route qui nous mènerait à Aïn Mérane puis à Taougrite. Tout au long du périple nous discutions des dispositions à prendre et du plan que nous devions observer pour commencer notre travail de recherche et de listing des endroits que nous devions visiter.
Nous roulions à une allure modérée et après quelques
kilomètres de plat, nous commençons à monter les premiers contreforts de la
chaîne montagneuse du Dahra. Après avoir traversé le village de la Caper, nous
nous rapprochions du carrefour Sobha-Aïn
Mérane. Un barrage de gendarmerie est dressé à l’embranchement de ces deux
communes. C’est la limite, le lieu où commencent les Monts du Dahra. La route a
été réfectionnée et élargie, ce qui ajoute au confort un plus durant le voyage.
Nous montions toujours. Nous traversâmes un petit hameau (El H’chalif) où se trouve le
cimetière de Sobha, sur le bas côté droit de la route menant à Aïn
Mérane. Face au cimetière, une mosquée assez grande a été construite
pour permettre aux habitants de la contrée de faire leurs prières en commun.
Avec l’avènement de la réforme agraire
et l’aide apportée aux petits fellahs, nous remarquons, en contrebas de Souala,
petite bourgade faisant partie de la commune de Sobha, des oliveraies en
pleine floraison des deux côtés de la route.
La route est formée de lacets montants. Nous débouchons
sur la bourgade de Souala, dans laquelle on distingue une école primaire et une
mosquée aux abords de la route ainsi qu’une recette des postes et
télécommunications. Après le village de Souala, la route plongeait dans une
sorte de cuvette pour se redresser et regrimper sur le flan Sud du Mont
Dahra.
La route serpentait en lacets plus ou moins serrés et
nous atteignons les premières maisons d’Aïn El Kahla, une petite bourgade
faisant partie de la commune d’Aïn Mérane. Nous pouvions
distinguer une station de pompage de l’Algérienne des Eaux. La bâtisse est peinte en bleu et blanc pour
donner un petit cachet représentant le symbole de l’eau. Nous montions encore plus haut pour déboucher
sur le site d’El-Biayidh, carrefour qui mène vers la commune de Herenfa. La
route se stabilise sur le haut de cette colline pour redescendre ensuite vers
le carrefour menant vers El Herenfa, une autre commune de la
Daïra d’Aïn Mérane.
A cet embranchement, nous trouvons le hameau de Goufaf
se trouvant dans l’intersection de la route de Aïn Mérane et celle
menant à El Herenfa. Nous constatons, sur le bas côté droit de la route,
l’école de la bourgade.
Nous continuons notre route par la nationale qui fait
la jonction entre la wilaya de Chlef et celle de Relizane par Mazouna.
Au bout de quelques minutes nous
arrivons à l’entrée de la commune d’Aïn Mérane. Ce village, colonial
de prime abord, après le déclenchement du terrorisme en 1992, a vu sa
population doubler ou même tripler de par l’exode des populations rurales pour
échapper aux exactions des terroristes.
Nous traversâmes le village d’Aïn Mérane de part en
part. Comme c’est un village colonial, le tissu urbain est constitué d’une
grande rue traversant tout le village.
Nous continuons notre route pour déboucher sur la
bourgade d’Ouled Aïn Ennass, dépendant de la commune d’Aïn
Mérane. Nous continuons notre ascension vers Taougrite. La route
serpentait dans un plat plus ou moins relatif et nous avons débouché dans le
village d’Aïn Serdoun où se trouve une source d’eau minérale vraiment douce et potable.
Nous grimpions encore pour surplomber la plaine du Gris avant d’arriver au
bout de quelques kilomètres après une série de lacets devançant l’entrée de la
commune de Taougrite où nous remarquons la construction d’une cité H.L.M et
d’une unité nouvelle de la protection civile.
RUE PRINCIPALE TAOUGRITE (2) -
Le village de Taougrite, durant la colonisation était un
village de colons qui comptait seulement une rue principale qui traversait le
village de part en part du Sud au Nord. Par la suite, après l’Indépendance,
deux autres grandes artères parallèles ont vu le jour pour faciliter la
circulation et donner un certain urbanisme au village.
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Arrivés au village de Taougrite, nous nous rendons directement à la Daïra pour nous présenter et les aviser que nous sommes déjà sur les lieux afin que les services de la Daïra puissent aviser le Président d’APC de nous recevoir et de nous prêter main forte pour notre mission qui est de visiter tous les lieux touristiques et les sites archéologiques qui nous permettraient de mener à terme le projet dont nous a chargés Monsieur le Wali de Chlef.
Le secrétaire général de la Daïra avait avisé le
Président de l’APC de Taougrite de notre venue. Nous nous
dirigeâmes vers les bâtiments de la Mairie de Taougrite, situés sur la
voie principale du village qui était en pleine réfection.
Nous
fûmes reçus par le Président de l’APC et par le Vice-président, responsable de
la culture au niveau de la commune de Taougrite.
Nous
étions accompagnés d’un caméraman pour faire une vidéo des différents sites que
nous aurions visité. Nous étions aussi équipés d’appareils photos numériques
pour prendre le plus de photos possible afin d’agrémenter notre travail qui
consiste à faire un livre relatant l’histoire et la culture de la wilaya de Chlef.
Une
voiture 4X4 a été mise à notre disposition avec chauffeur et le Vice-président
devait nous accompagner dans notre mission d’investigation. Après avoir fixé
les différents sites et lieux de la commune, nous avons pris la route pour le
hameau de Sidi Aïssa où se trouve « Kal’ât Sidi Aissa » ou
bien « Kal’ât
Sidi Abdellah » comme on l’appelle communément dans les textes
officiels. Arrivés sur les lieux, nous avions traversé tout le hameau pour nous
retrouver devant une colline que même le 4X4 peinait à monter, vu qu’il n’y
avait pas de route ni de piste qu’on devait suivre. Nous nous confions à la
dextérité et à la connaissance du terrain par le chauffeur attitré de la
commune de Taougrite. En effet, il conduisait son 4X4 d’une main de maître et
ne brusquait jamais son véhicule. Les secousses vous pilaient les vertèbres et
si vous vous relâchez, vous ressentiriez une douleur atroce au niveau des
vertèbres lombaires.
Nous
sommes déjà sur le site de « Kal’ât Sidi Abdellah ».
De loin, nous ne pouvions rien voir ni distinguer quoi que ce soit. Mais au fur
et à mesure que nous nous rapprochions, nous constations quelques vestiges (des
blocs de pierre taillée épars sur une superficie qui avoisine les quatre ou
cinq hectares et peut-être même plus. Nous nous trouvions sur une falaise
au-dessus d’un autre site archéologique qui fait partie de « Kal’ât Sidi
Abdellah ». La falaise était haute de plusieurs dizaines de mètres
(à peu près soixante mètres. Nous distinguions du haut de la falaise, les
ruines de la « Kal’â ». Le tracé des murs du fortin est encore visible
à ras terre et des pierres taillées
étaient éparpillées sur toute la surface du site.
Tout
au long de notre investigation, nous n’avons pas cessé de prendre de photos de
tout le site et de filmer pour agrémenter notre travail d’une vidéo avec
commentaires sur le site même de « Kal’ât Ouled Abdellah Abdellah »
ou Timici à Taougrite, sur la crête, au-dessus du hameau de Sidi
Aïssa.
Nous
avons passé presque la matinée entière sur le site, puis nous avons pris le
chemin du retour en direction de Sidi Aïssa pour déboucher ensuite directement en passant à côté du cimetière, sur la Zaouïa
de Sidi Aissa qui abrite plus de 35 disciples en matière de théologie.
Nous avons été reçus très cordialement à l’intérieur de la Zaouïa, par les jeunes
talebs qui nous ont même proposé de boire un café que nous avons été obligés de
décommander car nous n’avions pas beaucoup de temps pour pouvoir visiter
d’autres sites touristiques et de villégiature dans les forêts aux abords du
village de Taougrite.
ZAOUIA DE SIDI AISSA - La Zaouïa
de Sidi Aissa (Taougrite) abrite plus de 35 élèves internes. Sont sortis de cette Zaouïa plusieurs
imams de la région actuellement éparpillés dans les mosquées sur tout le
territoire national.
TALEBS EN TRAIN DE PSALMODIER LE CORAN (ZAOUIA DE SIDI AISSA) - Une partie des talebs en train d’apprendre et de psalmodier le Coran. Ils sont au nombre de 35 élèves dans ladite Zaouïa.
Nous
avons coupé directement de la Zaouïa par une piste qui nous a menés sur la
route qui conduit vers le village de Dahra. Arrivés sur ladite route, nous
avons rebroussé chemin, en tournant vers la droite pour revenir vers le village
de Taougrite. Nous devions monter vers un lieu nommé « Ghannessou »,
petit bosquet en bordure de la forêt de Sidi Abdelkader et Sidi
Youcef. C’est un lieu magnifique, un lieu de villégiature familiale.
Des pins et des eucalyptus se partageaient le terrain ainsi que des lentisques
et de la broussaille. En face, de l’autre côté de la piste, un ouvrier agricole
qui a obtenu un lopin de terre à assainir, était en train de jouer de la faux
pour récolter le fourrage à ses bêtes. Les herbes à fourrage dépassait, par
endroits, le mètre et peut-être même
JARDIN D’ARBRES FRUITIERS
Fellah ayant bénéficié d’un lopin de
terre dans le cadre de la valorisation des terres agricoles. Il est en train de
couper le fourrage à la faux pour ses bêtes. Il a obtenu son lopin depuis plus
de six ans mais ce n’est, nous dit-il, que ces deux dernières années qu’il a pu
en profiter un peu. Il espère que cette année 2009 puisse lui apporter toute la
récolte escomptée. Il est très optimiste en ce sens car le climat a été à la
hauteur de son attente et que la terre a été bien arrosée.
PINEDE
GHANESSOU TAOUGRITE – Sur la route qui monte de Taougrite vers le Nord-Est pour rejoindre
le bourg de Sidi
Youcef, puis le
village de Mossadek (Ex-
Baâch)
Cette
pinède mérite d’être aménagée en lieu naturel de villégiature pour les familles
du village et pour les touristes qui empruntent cette route pour aller à la mer
à Dachria (petite bourgade relevant de la
commune de Dahra) ou à El Guelta (village
rattaché à la commune d’El-Marsa – Daïra d’El-Marsa) Après avoir visité le bosquet
en long et en large, nous avons pris le chemin vers une source qui ne tarit
jamais et qui coule dans un abreuvoir pour les bêtes et un grand bassin comme
réserve, servant peut-être pour les agriculteurs résidant en contrebas de la
source et pouvant leur servir pour irriguer leurs jardins potagers et leurs
jardins d’arbres fruitiers.
Plusieurs
habitants de la commune de Taougrite ont bénéficié du programme de prêt pour la
valorisation des terres initié par le Ministère de l’Agriculture et de la Pêche
pour combler le déficit en matière d’emploi dans les zones rurales afin de
mettre fin à un certain exode rural qui a eu un impact certain sur la vie
économique du pays.
Nous
avons par la suite, retraversé le village d’Est en Ouest pour reprendre la route vers Chlef et au bout
de deux kilomètres seulement, au lieu dit « Reggada » pour rejoindre
le douar « Chaâbnia » relevant de la commune de Taougrite.
Nous l’avons traversé sans nous arrêter car ce qui nous intéressait c’était la Zaouïa
de « Chaâbnia »,
située à l’extérieur du douar en allant vers le douar du « Mizab »,
relevant lui aussi de la commune de Taougrite.
ENTREE DE LA ZAOUIA DE CHAABNIA (TAOUGRITE)
LES TALEBS DE LA ZOUIA DE CHAABNIA AYANT BIEN VOULU
POSER POUR NOUS
Cette
Zaouïa existe depuis plusieurs décennies et a fait sortir plusieurs promotions
d’étudiants en théologie qui occupent actuellement des postes d’Imams et
d’enseignants dans différentes contrées de la wilaya de Chlef et même dans
d’autres wilayates. Elle reçoit chaque
année plusieurs disciples. Pour cette année 2009, ils sont au nombre de 75 élèves
tous âges confondus.
En continuant sur notre lancée, dans la descente
des monts du Dahra, en descendant vers le village de Herenfa, à mi-chemin,
nous tombons sur la retenue collinaire d’Oued Boukouroune qui est assez
importante et sert pour les fellahs de
la région pour la valorisation des terres agricoles. Plusieurs ont bénéficié de
ce programme combien nécessaire à ces populations rurales et y ont de suite
adhéré. Des deux côtés de la route (goudronnée) qui mène vers le douar Mizab,
nous remarquons des vergers avec de petits arbustes en train de faire leur
trajectoire vers le ciel, bénéficiant de la clémence du temps et d’un soleil
radieux précipitant les effets de la photosynthèse à la grande joie des
arboriculteurs.
N’ayant
peut-être plus rien à visiter, et c’est le soleil qui commençait à décliner
vers l’horizon qui nous demandait de rentrer au bercail, nous avons repris le
chemin du retour vers le village Taougrite.
ESCALIERS - RUINES - KALAA SIDI AISSA - Ces escaliers reliaient les deux sites de « Kalaâ Sidi Abdellah » au niveau du hameau de Sidi Aïssa, dans la commune de Taougrite et se trouvant à la sortie Ouest du village.
Nous
avions constaté des cavités qui servaient de silos à grain et peut-être aussi
comme réserves d’eau pour alimenter le site du bas de la falaise. Nous avions
aussi remarqué des escaliers qui devaient mener dans le temps vers le site en
contrebas de la falaise.
SILO
A GRAIN - KALAA SIDI AISSA -
C’est des cavités creusées à même la roche et qui servaient aux
habitants du site de silo pour entreposer leurs récoltes de grains.
RESERVE A EAU POUR ALIMENTER LE SITE - C’est une sorte de citerne (bâche à eau souterraine) qui permettait aux habitants du site de faire leur réserve d’eau de pluie en hiver et qui pouvait leur tenir toute l’année. La réserve est creusée à même le sol dans la roche de granit. Son couvercle était constitué d’une grande dalle de la même roche de granit.
ESCALIER TAILLE A MEME LA ROCHE RELIANT LE HAUT DU SITE
SUR LA COLLINE SURPLOMBANT LE SITE PRINCIPAL EN CONTREBAS
NOUVEAU SIEGE DE LA DAÏRA DE TAOUGRITE - C’est le nouveau siège de la Daïra de Taougrite. Il est situé à la sortie Ouest du village, sur la route menant à Oum Etteboul, Sidi M’hamed Bénali et Mazouna plus loin.
NOUVELLE BIBLIOTHEQUE TAOUGRITE - C’est une nouvelle construction qui abritera les services du centre culturel et de la bibliothèque de Taougrite. Elle n’a pas encore été ouverte.
La bibliothèque attend d’être équipée pour ouvrir dans
les meilleurs délais comme nous l’a précisé le vice-président de l’APC de
Taougrite, responsable de la culture au niveau du territoire de la commune.
Parmi les nouvelles réalisations, nous pouvons citer un groupe de 100 logements édifiés à l’entrée Sud du village de Taougrite.
Une autre acquisition est à inscrire à l’initiative de
l’APC et concerne la caserne des Sapeurs Pompiers.
Un nouveau CEM a été construit et est déjà fonctionnel
et abrite plus de 800 élèves.
SITE ARCHEOLOGIQUE KALAA O.ABDELLAH – SIDI AISSA - TAOUGRITE (WILAYA DE CHLEF
ENTREE DU CIMETIERE DES CHOUHADAS A TAOUGRITE (CHLEF)
CIMETIERE (TOMBEAUX CHOUHADAS TAOUGRITE) -
Nous savons pertinemment que les monts du Dahra ont abrité l’un des bastions de la révolution et que des centaines de Chouhadas sont tombés au champ d’honneur pour défendre leur sol et leur patrie ainsi que leur langue, leurs us et coutumes contre l’oppresseur et colonisateur.
Merci
RépondreSupprimerC'est une très belle région et une belle petite ville avec une population
RépondreSupprimerSympathique, c'est ma région de naissance.