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lundi 2 mai 2016
NOUVELLESDALGERIE: CAFE LITTERAIRE DU 30 AVRIL 2016 ANIME PAR le Dr B...
NOUVELLESDALGERIE: CAFE LITTERAIRE DU 30 AVRIL 2016 ANIME PAR le Dr B...: CAFE LITTERAIRE DU 30 AVRIL 2016 ...
dimanche 1 mai 2016
CAFE LITTERAIRE DU 30 AVRIL 2016 ANIME PAR le Dr BENBALI MOHAMED A CHLEF
CAFE LITTERAIRE DU 30 AVRIL 2016
Le
café littéraire de Chlef continue son petit bonhomme de chemin malgré les
difficultés et pour cette semaine, la journée du Samedi 30 Avril 2016, une
conférence a été donnée par le Doctorant Mohamed Benbali, professeur d’arabe à
l’Université Hassiba Benbouali à Ouled Farés (CHLEF) et dont le titre est
« La définition de la poésie »
« Maf’houm ech-ch’î3r ».
Pour l’ouverture de la séance, Hrache
Beghdadi dit kaddour, musicien attitré du café littéraire de Chlef, en prélude,
abreuva l’assistance de ses morceaux choisis, complaintes orientales qui vous
emmènent vers des lieux de paix et de sérénité.
Ce fut par la suite, Hamou Ahlem qui
monta à la tribune pour nous lire une prose poétique des plus envoutantes
concernant l’amour de la patrie. Ce fut au tour de notre actrice et poétesse
Djamila Benahmed, de nous emporter avec elle dans ses complaintes mais cette
fois-ci honorées de roses et de paix pour le bonheur de ses détracteurs qui lui
reprochaient toujours la mélancolie de ses vers.
Vint le tour de notre invité, le Pr
Benbali Mohamed qui, sur la tribune, remercia l’assistance et les membres du
café littéraire et à leur tête Mohamed Boudia, se disant très touché par cette
marque de sympathie et pour cette invitation qui lui a permis de côtoyer les
hommes de lettres de la ville où il a étudié. Avant d’entamer sa communication,
il tint à se présenter à l’assistance comme suit : « Je me nomme
Mohamed Benbali et je suis né en 1958 à Aïn Mérane (W. Chlef). J’ai étudié à l’école primaire d’Aïn
Mérane dès 1964, puis je partis au CEM « Bachir El Ibrahimi » de Bou-Kader
pour continuer mes études dans l’enseignement moyen où j’ai obtenu mon BEM en
1974 après quatre années d’études. L’année 1975, je fus admis au lycée
« As-Salem » de Chlef où j’obtins mon baccalauréat en 1978. J’ai
rejoint par la suite, l’institut de technologie de l’Education où j’ai obtenu
mon diplôme de fin d’études normales en tant que professeur d’enseignement
moyen à ma sortie en 1979. Je rejoins par la suite, l’Université d’Es-Senia à
Oran où j’obtins ma licence de lettres arabes. J’ai embrassé l’enseignement
dans le lycée « Aberrahmane Kerzazi » à Bou-Kader en tant que
professeur de langue arabe de 1984 à 1991. Je revins par la suite à mon lieu de
naissance, Aïn Mérane où j’ai enseigné l’Arabe de 1991 à 2001. Après cela, je
fus promu au grade de Censeur au lycée de Zeboudja, puis Sendjas, puis
proviseur du technicum d’Oued Fodda où j’ai déposé ma démission de
l’enseignement secondaire pour rejoindre l’Université Hassiba Benbouali de
Chlef et actuellement, je suis doctorant en lettres arabes dans le thème
« Dirassate El Ika3iya wel balaghiya ».
M. Benbali Mohamed, a fait une
communication très pertinente concernant la poésie en général et dut répondre
lors des débats à plusieurs questionnements de la part de l’assistance en les
personnes de M. Medjdoub Ali, Benahmed Djamila, Mansour Mokhtari, Saâdoune
Bouabdellah, Nekkaf Aïssa ainsi que Chohra Abdelkader. Il dut lire plusieurs
poèmes de sa composition de même que des poèmes de la « djahiliya »
qu’il dut expliquer le sens profond qu’il ne faut pas mélanger avec le vocable
utilisé de nos jours. Pour l’orateur, le mot djahiliya ne veut pas dire
analphabète comme on le comprend de nos jours mais c’était tout à fait un autre
sens.
M. Benbali Mohamed a récité beaucoup de
poèmes comme des extraits d’ « El mou3alakates », d’El Moutanabi, d’Amr
Oulkaïs, Antar Ibn Cheddad, etc. Mohamed Benbali est un érudit en matière de
poésie. Il a capté l’attention de l’assistance pendant plus d’une heure trente.
Sa diction et son calme font de lui un orateur. Il a une pédagogie qui attire
le respect et l’audience.
Vint ensuite, le tour d’autres poètes
tels Mokhtari Mansour, Nekkaf Aïssa et Allali Miloud de déclamer leurs poèmes
au bonheur de l’assistance qui commence à goûter de semaine en semaine, l’art
de la poésie.
Pour clôturer, un autre musicien Ferrahi
Abdellah, a accompagné de son « oûd » les derniers poètes qui se sont
relayés sur la tribune.
Nous avions aussi une invitée de marque,
Mme Driza Fatiha, présidente d’association à Mostaganem qui nous a honoré de sa
présence.
Un bouquet de fleurs a été offert par
une poétesse, Melle Hamou Ahlem, à notre invité, le Dr Benbali Mohamed de même
que Mme Driza a été chargé par le café littéraire de remettre à notre honorable
invité, un diplôme de participation pour son passage au café littéraire de
Chlef.
Mohamed Boudia – Ecrivain-auteur
Président du Café Littéraire de Chlef
Vice-président de l’Association
Nationale Héritage Algérie
Le café littéraire de Chlef continue son petit bonhomme de chemin malgré les difficultés et pour cette semaine, la journée du Samedi 30 Avril 2016, une conférence a été donnée par le Doctorant Mohamed Benbali, professeur d’arabe à l’Université Hassiba Benbouali à Ouled Farés (CHLEF) et dont le titre est « La définition de la poésie » « Maf’houm ech-ch’î3r ».
Pour l’ouverture de la séance, Hrache
Beghdadi dit kaddour, musicien attitré du café littéraire de Chlef, en prélude,
abreuva l’assistance de ses morceaux choisis, complaintes orientales qui vous
emmènent vers des lieux de paix et de sérénité.
Ce fut par la suite, Hamou Ahlem qui
monta à la tribune pour nous lire une prose poétique des plus envoutantes
concernant l’amour de la patrie. Ce fut au tour de notre actrice et poétesse
Djamila Benahmed, de nous emporter avec elle dans ses complaintes mais cette
fois-ci honorées de roses et de paix pour le bonheur de ses détracteurs qui lui
reprochaient toujours la mélancolie de ses vers.
Vint le tour de notre invité, le Pr
Benbali Mohamed qui, sur la tribune, remercia l’assistance et les membres du
café littéraire et à leur tête Mohamed Boudia, se disant très touché par cette
marque de sympathie et pour cette invitation qui lui a permis de côtoyer les
hommes de lettres de la ville où il a étudié. Avant d’entamer sa communication,
il tint à se présenter à l’assistance comme suit : « Je me nomme
Mohamed Benbali et je suis né en 1958 à Aïn Mérane (W. Chlef). J’ai étudié à l’école primaire d’Aïn
Mérane dès 1964, puis je partis au CEM « Bachir El Ibrahimi » de Bou-Kader
pour continuer mes études dans l’enseignement moyen où j’ai obtenu mon BEM en
1974 après quatre années d’études. L’année 1975, je fus admis au lycée
« As-Salem » de Chlef où j’obtins mon baccalauréat en 1978. J’ai
rejoint par la suite, l’institut de technologie de l’Education où j’ai obtenu
mon diplôme de fin d’études normales en tant que professeur d’enseignement
moyen à ma sortie en 1979. Je rejoins par la suite, l’Université d’Es-Senia à
Oran où j’obtins ma licence de lettres arabes. J’ai embrassé l’enseignement
dans le lycée « Aberrahmane Kerzazi » à Bou-Kader en tant que
professeur de langue arabe de 1984 à 1991. Je revins par la suite à mon lieu de
naissance, Aïn Mérane où j’ai enseigné l’Arabe de 1991 à 2001. Après cela, je
fus promu au grade de Censeur au lycée de Zeboudja, puis Sendjas, puis
proviseur du technicum d’Oued Fodda où j’ai déposé ma démission de
l’enseignement secondaire pour rejoindre l’Université Hassiba Benbouali de
Chlef et actuellement, je suis doctorant en lettres arabes dans le thème
« Dirassate El Ika3iya wel balaghiya ».
M. Benbali Mohamed, a fait une
communication très pertinente concernant la poésie en général et dut répondre
lors des débats à plusieurs questionnements de la part de l’assistance en les
personnes de M. Medjdoub Ali, Benahmed Djamila, Mansour Mokhtari, Saâdoune
Bouabdellah, Nekkaf Aïssa ainsi que Chohra Abdelkader. Il dut lire plusieurs
poèmes de sa composition de même que des poèmes de la « djahiliya »
qu’il dut expliquer le sens profond qu’il ne faut pas mélanger avec le vocable
utilisé de nos jours. Pour l’orateur, le mot djahiliya ne veut pas dire
analphabète comme on le comprend de nos jours mais c’était tout à fait un autre
sens.
M. Benbali Mohamed a récité beaucoup de
poèmes comme des extraits d’ « El mou3alakates », d’El Moutanabi, d’Amr
Oulkaïs, Antar Ibn Cheddad, etc. Mohamed Benbali est un érudit en matière de
poésie. Il a capté l’attention de l’assistance pendant plus d’une heure trente.
Sa diction et son calme font de lui un orateur. Il a une pédagogie qui attire
le respect et l’audience.
Vint ensuite, le tour d’autres poètes
tels Mokhtari Mansour, Nekkaf Aïssa et Allali Miloud de déclamer leurs poèmes
au bonheur de l’assistance qui commence à goûter de semaine en semaine, l’art
de la poésie.
Pour clôturer, un autre musicien Ferrahi
Abdellah, a accompagné de son « oûd » les derniers poètes qui se sont
relayés sur la tribune.
Nous avions aussi une invitée de marque,
Mme Driza Fatiha, présidente d’association à Mostaganem qui nous a honoré de sa
présence.
Un bouquet de fleurs a été offert par
une poétesse, Melle Hamou Ahlem, à notre invité, le Dr Benbali Mohamed de même
que Mme Driza a été chargé par le café littéraire de remettre à notre honorable
invité, un diplôme de participation pour son passage au café littéraire de
Chlef.
Mohamed Boudia – Ecrivain-auteur
Président du Café Littéraire de Chlef
Vice-président de l’Association
Nationale Héritage Algérie
NOUVELLESDALGERIE: CAFE LITTERAIRE DU 23 AVRIL 2016 ANIME PAR MLLE AN...: CAFÉ LITTÉRAIRE DU 23 AVRIL 2016 Après avoir subi des dépressions et des r...
CAFE LITTERAIRE DU 23 AVRIL 2016 ANIME PAR MLLE ANYA MERIMECHE
CAFÉ LITTÉRAIRE DU 23 AVRIL 2016

Pour ce Samedi 23 Avril 2016, le café
littéraire est l’hote de la plus jeune écrivaine d’Algérie en la personne de
Mlle Anya Mérimeche, nominée par la revue culturelle « Livr’escq »
sous la direction de Mme Sebkhi Nadia, de même que par l’ambassade de France,
d’Italie et d’Allemagne. Mlle Mérimeche est à son quatrième bouquin dont le
titre est « Transitions ». C’est un roman qui se veut une sorte de
transition dans l’écriture de l’écrivaine par rapport aux trois premiers
romans. Il se veut une avancée dans le temps au fur et à mesure que l’écrivaine
grandit et grandissent avec elle ses aspirations et ses objectifs.
Pour l’ouverture de cette séance du café
littéraire, M. Hrache Beghdadi dit Kaddour, musicien jouant du
« oûd » gratifie l’assistance de ses complaintes orientales qui vous
emportent vers des horizons de paix et de sérénité et vous envoûtent pour vous
relaxer et vous redonner du tonus pour la poursuite de cette épopée culturelle.
Pour un début de séance, plusieurs
jeunes poètes et poétesses se sont relayés à la tribune pour déclamer leur
poésie. M. Saâdoune Bouabdellah, animateur attitré du café littéraire, nous
gave, à chaque séance de ses exemples poétiques qui se veulent une leçon
sociale et une éducation pour tout un chacun.
Mlle Anya Mérimeche, d’un ton très
calme commença à présenter son roman « Transitions » en lisant
l’introduction qui donne déjà une certaine envie de terminer l’histoire. Durant
les débats, Mlle Mérimeche s’est érigé en professeur et répondait avec
bienséance et courtoisie à tous les intervenants qui se sont félicités de cette
séance du café littéraire et de la présence de cette jeune écrivaine,
romancière à plus d’un titre, érudite dans le sens le plus profond du terme.
C’est un don que lui a le Créateur en matière d’écriture de romans. Il est à
noter que Mlle Mérimeche et d’une jovialité exemplaire.
Après les débats, plusieurs anciens
poètes tels Mokhtari Mansour, Nekkaf Aïssa et bien d’autres se sont fait
l’honneur d’aller à la tribune pour gratifier l’assistance de leur poésie tant
dans le melhoun que dans la poésie classique, sans oublier notre attitré poète
du café littéraire, M. Allali Miloud.
Une vente-dédicace a été entamée par Mlle Anya Mérimeche de ses romans. Malheureusement la demande du dernier roman
a été forte par rapport au peu d’exemplaires ramenés.
Des présents ont été remis à la jeune
écrivaine ainsi qu’à ses parents de même que des diplômes de participation au
café littéraire. Un bouquet de fleurs a été offert par notre jeune poétesse Mlle Hadj-Henni à Mlle Mérimeche.
M. Abdelkrim Elhouari a fait une
interview à la jeune écrivaine et s’est fait un devoir d’interviewer une jeune
poétesse, Mlle Hadj Henni.
Des photos souvenirs ont été prises avec
la jeune écrivaine pour inscrire dans le temps ce passage de cette dernière
dans l’enceinte de cette aire culturelle qui se veut un lieu de rencontres et
d’échanges combien nécessaires à la vie culturelle de notre ville et de notre
pays en général.
Mohamed Boudia – Ecrivain-auteur
Président du café littéraire de Chlef –
Vice-président de l’Association Nationale Héritage Algérie.
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