CAFE LITTERAIRE DU 30 AVRIL 2016
Le
café littéraire de Chlef continue son petit bonhomme de chemin malgré les
difficultés et pour cette semaine, la journée du Samedi 30 Avril 2016, une
conférence a été donnée par le Doctorant Mohamed Benbali, professeur d’arabe à
l’Université Hassiba Benbouali à Ouled Farés (CHLEF) et dont le titre est
« La définition de la poésie »
« Maf’houm ech-ch’î3r ».
Pour l’ouverture de la séance, Hrache
Beghdadi dit kaddour, musicien attitré du café littéraire de Chlef, en prélude,
abreuva l’assistance de ses morceaux choisis, complaintes orientales qui vous
emmènent vers des lieux de paix et de sérénité.
Ce fut par la suite, Hamou Ahlem qui
monta à la tribune pour nous lire une prose poétique des plus envoutantes
concernant l’amour de la patrie. Ce fut au tour de notre actrice et poétesse
Djamila Benahmed, de nous emporter avec elle dans ses complaintes mais cette
fois-ci honorées de roses et de paix pour le bonheur de ses détracteurs qui lui
reprochaient toujours la mélancolie de ses vers.
Vint le tour de notre invité, le Pr
Benbali Mohamed qui, sur la tribune, remercia l’assistance et les membres du
café littéraire et à leur tête Mohamed Boudia, se disant très touché par cette
marque de sympathie et pour cette invitation qui lui a permis de côtoyer les
hommes de lettres de la ville où il a étudié. Avant d’entamer sa communication,
il tint à se présenter à l’assistance comme suit : « Je me nomme
Mohamed Benbali et je suis né en 1958 à Aïn Mérane (W. Chlef). J’ai étudié à l’école primaire d’Aïn
Mérane dès 1964, puis je partis au CEM « Bachir El Ibrahimi » de Bou-Kader
pour continuer mes études dans l’enseignement moyen où j’ai obtenu mon BEM en
1974 après quatre années d’études. L’année 1975, je fus admis au lycée
« As-Salem » de Chlef où j’obtins mon baccalauréat en 1978. J’ai
rejoint par la suite, l’institut de technologie de l’Education où j’ai obtenu
mon diplôme de fin d’études normales en tant que professeur d’enseignement
moyen à ma sortie en 1979. Je rejoins par la suite, l’Université d’Es-Senia à
Oran où j’obtins ma licence de lettres arabes. J’ai embrassé l’enseignement
dans le lycée « Aberrahmane Kerzazi » à Bou-Kader en tant que
professeur de langue arabe de 1984 à 1991. Je revins par la suite à mon lieu de
naissance, Aïn Mérane où j’ai enseigné l’Arabe de 1991 à 2001. Après cela, je
fus promu au grade de Censeur au lycée de Zeboudja, puis Sendjas, puis
proviseur du technicum d’Oued Fodda où j’ai déposé ma démission de
l’enseignement secondaire pour rejoindre l’Université Hassiba Benbouali de
Chlef et actuellement, je suis doctorant en lettres arabes dans le thème
« Dirassate El Ika3iya wel balaghiya ».
M. Benbali Mohamed, a fait une
communication très pertinente concernant la poésie en général et dut répondre
lors des débats à plusieurs questionnements de la part de l’assistance en les
personnes de M. Medjdoub Ali, Benahmed Djamila, Mansour Mokhtari, Saâdoune
Bouabdellah, Nekkaf Aïssa ainsi que Chohra Abdelkader. Il dut lire plusieurs
poèmes de sa composition de même que des poèmes de la « djahiliya »
qu’il dut expliquer le sens profond qu’il ne faut pas mélanger avec le vocable
utilisé de nos jours. Pour l’orateur, le mot djahiliya ne veut pas dire
analphabète comme on le comprend de nos jours mais c’était tout à fait un autre
sens.
M. Benbali Mohamed a récité beaucoup de
poèmes comme des extraits d’ « El mou3alakates », d’El Moutanabi, d’Amr
Oulkaïs, Antar Ibn Cheddad, etc. Mohamed Benbali est un érudit en matière de
poésie. Il a capté l’attention de l’assistance pendant plus d’une heure trente.
Sa diction et son calme font de lui un orateur. Il a une pédagogie qui attire
le respect et l’audience.
Vint ensuite, le tour d’autres poètes
tels Mokhtari Mansour, Nekkaf Aïssa et Allali Miloud de déclamer leurs poèmes
au bonheur de l’assistance qui commence à goûter de semaine en semaine, l’art
de la poésie.
Pour clôturer, un autre musicien Ferrahi
Abdellah, a accompagné de son « oûd » les derniers poètes qui se sont
relayés sur la tribune.
Nous avions aussi une invitée de marque,
Mme Driza Fatiha, présidente d’association à Mostaganem qui nous a honoré de sa
présence.
Un bouquet de fleurs a été offert par
une poétesse, Melle Hamou Ahlem, à notre invité, le Dr Benbali Mohamed de même
que Mme Driza a été chargé par le café littéraire de remettre à notre honorable
invité, un diplôme de participation pour son passage au café littéraire de
Chlef.
Mohamed Boudia – Ecrivain-auteur
Président du Café Littéraire de Chlef
Vice-président de l’Association
Nationale Héritage Algérie
Le café littéraire de Chlef continue son petit bonhomme de chemin malgré les difficultés et pour cette semaine, la journée du Samedi 30 Avril 2016, une conférence a été donnée par le Doctorant Mohamed Benbali, professeur d’arabe à l’Université Hassiba Benbouali à Ouled Farés (CHLEF) et dont le titre est « La définition de la poésie » « Maf’houm ech-ch’î3r ».
Pour l’ouverture de la séance, Hrache
Beghdadi dit kaddour, musicien attitré du café littéraire de Chlef, en prélude,
abreuva l’assistance de ses morceaux choisis, complaintes orientales qui vous
emmènent vers des lieux de paix et de sérénité.
Ce fut par la suite, Hamou Ahlem qui
monta à la tribune pour nous lire une prose poétique des plus envoutantes
concernant l’amour de la patrie. Ce fut au tour de notre actrice et poétesse
Djamila Benahmed, de nous emporter avec elle dans ses complaintes mais cette
fois-ci honorées de roses et de paix pour le bonheur de ses détracteurs qui lui
reprochaient toujours la mélancolie de ses vers.
Vint le tour de notre invité, le Pr
Benbali Mohamed qui, sur la tribune, remercia l’assistance et les membres du
café littéraire et à leur tête Mohamed Boudia, se disant très touché par cette
marque de sympathie et pour cette invitation qui lui a permis de côtoyer les
hommes de lettres de la ville où il a étudié. Avant d’entamer sa communication,
il tint à se présenter à l’assistance comme suit : « Je me nomme
Mohamed Benbali et je suis né en 1958 à Aïn Mérane (W. Chlef). J’ai étudié à l’école primaire d’Aïn
Mérane dès 1964, puis je partis au CEM « Bachir El Ibrahimi » de Bou-Kader
pour continuer mes études dans l’enseignement moyen où j’ai obtenu mon BEM en
1974 après quatre années d’études. L’année 1975, je fus admis au lycée
« As-Salem » de Chlef où j’obtins mon baccalauréat en 1978. J’ai
rejoint par la suite, l’institut de technologie de l’Education où j’ai obtenu
mon diplôme de fin d’études normales en tant que professeur d’enseignement
moyen à ma sortie en 1979. Je rejoins par la suite, l’Université d’Es-Senia à
Oran où j’obtins ma licence de lettres arabes. J’ai embrassé l’enseignement
dans le lycée « Aberrahmane Kerzazi » à Bou-Kader en tant que
professeur de langue arabe de 1984 à 1991. Je revins par la suite à mon lieu de
naissance, Aïn Mérane où j’ai enseigné l’Arabe de 1991 à 2001. Après cela, je
fus promu au grade de Censeur au lycée de Zeboudja, puis Sendjas, puis
proviseur du technicum d’Oued Fodda où j’ai déposé ma démission de
l’enseignement secondaire pour rejoindre l’Université Hassiba Benbouali de
Chlef et actuellement, je suis doctorant en lettres arabes dans le thème
« Dirassate El Ika3iya wel balaghiya ».
M. Benbali Mohamed, a fait une
communication très pertinente concernant la poésie en général et dut répondre
lors des débats à plusieurs questionnements de la part de l’assistance en les
personnes de M. Medjdoub Ali, Benahmed Djamila, Mansour Mokhtari, Saâdoune
Bouabdellah, Nekkaf Aïssa ainsi que Chohra Abdelkader. Il dut lire plusieurs
poèmes de sa composition de même que des poèmes de la « djahiliya »
qu’il dut expliquer le sens profond qu’il ne faut pas mélanger avec le vocable
utilisé de nos jours. Pour l’orateur, le mot djahiliya ne veut pas dire
analphabète comme on le comprend de nos jours mais c’était tout à fait un autre
sens.
M. Benbali Mohamed a récité beaucoup de
poèmes comme des extraits d’ « El mou3alakates », d’El Moutanabi, d’Amr
Oulkaïs, Antar Ibn Cheddad, etc. Mohamed Benbali est un érudit en matière de
poésie. Il a capté l’attention de l’assistance pendant plus d’une heure trente.
Sa diction et son calme font de lui un orateur. Il a une pédagogie qui attire
le respect et l’audience.
Vint ensuite, le tour d’autres poètes
tels Mokhtari Mansour, Nekkaf Aïssa et Allali Miloud de déclamer leurs poèmes
au bonheur de l’assistance qui commence à goûter de semaine en semaine, l’art
de la poésie.
Pour clôturer, un autre musicien Ferrahi
Abdellah, a accompagné de son « oûd » les derniers poètes qui se sont
relayés sur la tribune.
Nous avions aussi une invitée de marque,
Mme Driza Fatiha, présidente d’association à Mostaganem qui nous a honoré de sa
présence.
Un bouquet de fleurs a été offert par
une poétesse, Melle Hamou Ahlem, à notre invité, le Dr Benbali Mohamed de même
que Mme Driza a été chargé par le café littéraire de remettre à notre honorable
invité, un diplôme de participation pour son passage au café littéraire de
Chlef.
Mohamed Boudia – Ecrivain-auteur
Président du Café Littéraire de Chlef
Vice-président de l’Association
Nationale Héritage Algérie
NOUVELLESDALGERIE: CAFE LITTERAIRE DU 23 AVRIL 2016 ANIME PAR MLLE AN...: CAFÉ LITTÉRAIRE DU 23 AVRIL 2016 Après avoir subi des dépressions et des r...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire