La montagne DE jean
FERRAT
TOUS LES GARCONS DE MON AGE – FRANCOISE HARDY
C’EST UNE POUPEE QUI FAIT NON NON NON !
Giles BROWN – LA BAMBA
C’EST UNE POUPÉE QUI
FAIT NON NON NON ! MICHEL POLNAREFF
La maladie d’amour – Michèle Sardou
---oooOooo---
Charles Aznavour - LA BOHÈME
. . . . . .
Ils quittent
un à un le pays
Pour s'en
aller gagner leur vie
Loin de la
terre où ils sont nés
Depuis
longtemps ils en rêvaient
De la ville
et de ses secrets
Du formica
et du ciné
Les vieux ce
n'était pas original
Quand ils
s'essuyaient machinal
D'un revers
de manche les lèvres
Mais ils
savaient tout à propos
Tuer la
caille ou le perdreau
Et manger la
tomme de chêvre...
Pourtant que
la montagne est belle...
Comment
peut-on s'imaginer
En voyant un
vol d'hirondelle
Que
l'automne vient d'arriver
Avec leurs
mains dessus leurs têtes
Ils avaient
monté des murettes
Jusqu’au sommet de la colline
Qu'importe
les jours les années
Ils avaient
tous l'âme bien née
Noueuse
comme un pied de vigne
Les vignes
elles courent dans la forêt
Le vin ne
sera plus tiré
C'était une
horrible piquette
Mais ils
faisaient des centenaires
A ne plus
que savoir en faire
S'ils ne
vous tournaient pas la tête...
Pourtant que
la montagne est belle...
Comment
peut-on s'imaginer
En voyant un
vol d'hirondelle
Que
l'automne vient d'arriver
Deux chêvres
et puis quelques moutons
Une année
bonne ou non
Et sans
vacance et sans sortie
Les filles
veulent aller au bal
Il n'y a
rien de plus normal
Que de
vouloir vivre sa vie
Leur vie ils
seront flics ou fonctionnaires
De quoi
attendre sans s'en faire
Que l'heure
de la retraite sonne
Il faut
savoir ce que l'on aime
Et rentrer
dans son H. L. M
Manger du
poulet aux hormones...
Pourtant que
la montagne est belle...
Comment
peut-on s'imaginer
En voyant un
vol d'hirondelle
Que
l'automne vient d'arriver...
"La montagne" de Jean Ferrat
TOUS LES GARCONS DE MON AGE – FRANCOISE HARDY
Tous les
garçons et les filles de mon âge
Se promènent
dans la rue deux par deux
Tous les
garçons et les filles de mon âge
Savent bien
ce que c'est d'être heureux
Et les yeux
dans les yeux
Et la main
dans la main
Ils s'en
vont amoureux
Sans peur du
lendemain
Oui mais
moi, je vais seule
Dans les
rues, l'âme en peine
Oui mais
moi, je vais seule
Car personne
ne m'aime.
Mes jours
comme mes nuits
Sont en tout
points pareils
Sans joies
et pleins d'ennuis
Personne ne
murmure je t'aime à mon oreille
Tous les
garçons et les filles de mon âge
Font
ensemble des projets d'avenir
Tous les
garçons et les filles de mon âge
Savent bien
ce qu'aimer veut dire
Et les yeux
dans les yeux
Et la main
dans la main
Ils s'en
vont amoureux
Sans peur du
lendemain
Oui mais
moi, je vais seule
Dans les
rues, l'âme en peine
Oui mais
moi, je vais seule
Car personne
ne m'aime.
Mes jours
comme mes nuits
Sont en tout
points pareils
Sans joies
et plein d'ennuis
Oh! quand
pour moi brillera le soleil
Comme les
garçons et les filles de mon âge
Je
connaîtrais bientôt ce qu'est l'amour
Comme les
garçons et les filles de mon âge
Je me
demande quand viendra le jour
Où mes yeux
dans ses yeux
Où la main
dans sa main
J'aurai le
coeur heureux
Sans peur du
lendemain
Le jour où
je n'aurai plus du tout
L'âme en
peine
Le jour où
moi aussi
J'aurai
quelqu'un qui m'aime.
C’EST UNE POUPEE QUI FAIT NON NON NON !
C'est une
poupée,
Qui fait
non, non, non, non!
Toute la
journée,
Elle fait
non, non, non, non!
Elle est.. elle est tellement jolie,
Que j'en
rêve la nuit.
C'est une
poupée,
Qui fait
non, non, non, non!
Toute la
journée,
Elle fait
non, non, non, non!
Personne ne lui a jamais appris,
Qu'on
pouvait dire oui.
Sans même
écouter,
Elle fait
non non non non!
Sans même
regarder,
Elle fait
non non non non!
Pourtant je donnerais ma vie,
Pour qu'elle
dise oui!
Pourtant je donnerais ma vie,
Pour qu'elle
dise oui.
C'est une
poupée,
Qui fait
non, non, non, non!
Toute la
journée,
Elle fait
non, non, non, non!
Personne ne lui a jamais appris,
Qu'on
pouvait dire oui.
Oh non, non,
non, non,
Non, non,
non, non,
Elle fait
non, non, non, non.. non!
MICHEL POLNAREFF
Giles BROWN – LA BAMBA
Balabala la Bamba
Balabala la Bamba
C'est une danse qui
vient du Mexique
Et elle est
fantastique
Allons les copains
apprenez ce rythme
Ça ira très vite
C'est dans le vent
C'est dans le vent
Oui dans le vent...
Cette danse nouvelle
Rend les filles plus
belles
Profitez-en
profitez-en mesdemoiselles...
C'est la Bamba
C'est la Bamba
C'est la Bamba Bamba
Balabala la Bamba
balabala la Bamba
Comme mais che site
you napo ya ta gretchia
You na po ya ta
gretchia comme si arrive ya yarriva...
Balabala la Bamba
Balabala la Bamba
C'est une danse
qui vient du Mexique
Et elle est fantastique
Allons les copains
Apprenez ce rythme
Ça ira très vite
C'est dans le vent
C'est dans le vent
Oui dans le vent...
Bamba...
Bamba...
Bamba...
Bamba...
Bamba...
Bamba...
Bamba...
Bamba...
Dansez maintenant...
C'est une
poupée,
Qui fait
non, non, non, non!
Toute la
journée,
Elle fait
non, non, non, non!
Elle est.. elle est tellement jolie,
Que j'en
rêve la nuit.
C'est une
poupée,
Qui fait
non, non, non, non!
Toute la
journée,
Elle fait
non, non, non, non!
Personne ne lui a jamais appris,
Qu'on
pouvait dire oui.
Sans même
écouter,
Elle fait
non non non non!
Sans même
regarder,
Elle fait
non non non non!
Pourtant je donnerais ma vie,
Pour qu'elle
dise oui!
Pourtant je donnerais ma vie,
Pour qu'elle
dise oui.
C'est une
poupée,
Qui fait
non, non, non, non!
Toute la
journée,
Elle fait
non, non, non, non!
Personne ne lui a jamais appris,
Qu'on
pouvait dire oui.
Oh non, non,
non, non,
Non, non,
non, non,
Elle fait
non, non, non, non.. non!
---oooOooo---
La maladie d’amour – Michèle Sardou
Elle court elle court
la maladie d'amour
dans le coeur des enfants
de sept à soixante dix sept ans
elle chante elle chante
la rivière insolente
qui unit dans son lit
les cheveux blonds les cheveux gris
elle fait chanter les hommes
et s'agrandir le monde
elle fait parfois souffrir
tout le long d'une vie
elle fait pleurer les femmes
elle fait crier dans l'ombre
mais le plus douloureux
c'est quand on en guérit
Elle court elle court
la maladie d'amour
dans le cœur des enfants
de sept à soixante dix sept ans
elle chante elle chante
la rivière insolente
qui unit dans son lit les cheveux blonds les cheveux gris
Elle surprend l'écolière
sur les bancs d'une classe
par le charme innocent
d'un professeur d'anglais
elle foudroie dans la rue
cet inconnu qui passe
et qui n'oubliera plus
ce parfum qui volait
Elle court elle court
la maladie d'amour
dans le cœur des enfants
de sept à soixante dix sept ans
elle chante elle chante
la rivière insolente
qui unit dans son lit
les cheveux blonds les cheveux gris
Elle court elle court
la maladie d'amour
dans le cœur des enfants
de sept à soixante dix sept ans
elle chante elle chante
la rivière insolente
qui unit dans son lit
les cheveux blonds les cheveux gris
Elle court elle court
la maladie d'amour
dans le cœur des enfants
de sept à soixante dix sept ans
elle chante elle chante
la rivière insolente
qui unit dans son lit
les cheveux blonds les cheveux gris ---oooOooo---
Charles Aznavour - LA
Je vous
parle d'un temps...
Que les
moins de vingt ans...
Ne peuvent
pas connaître...
Montmartre
en ce temps là...
Accrochait
ses lilas...
Jusque sous
nos fenêtres...
Et si
l'humble garni...
Qui nous
servait de nid...
Ne payait
pas de mine...
C'est là
qu'on s'est connu...
Moi qui
criait famine...
Et toi qui
posait nue...
La bohème,
la bohème...
Ça voulait
dire, on est heureux...
La bohème,
la bohème...
Nous ne
mangions qu'un jour sur deux...
Dans les
cafés voisins...
Nous étions
quelques-uns...
Qui
attendions la gloire...
Et bien que
miséreux...
Avec le
ventre creux...
Nous ne
cessions d'y croire...
Et quand
quelques bistros...
Contre un
bon repas chaud...
Nous
prenaient une toile...
Nous
récitions des vers...
Groupés autour
du poêle...
En oubliant
l'hiver...
La bohème,
la bohème...
Ça voulait
dire, tu es jolie...
La bohème,
la bohème...
Et nous
avions tous du génie...
Souvent il
m'arrivait...
Devant mon
chevalet...
De passer
des nuits blanches...
Retouchant
le dessin...
De la ligne
d'un sein...
Du galbe
d'une hanche...
Et ce n'est
qu'au matin...
Qu'on
s'asseyait enfin...
Devant un
café-crème...
Épuisés mais
ravis...
Fallait-il
que l'on s'aime...
Et qu'on
aime la vie...
La bohème,
la bohème...
Ça voulait
dire, on a vingt ans...
La bohème,
la bohème...
Et nous
vivions de l'air du temps...
Quand au
hasard des jours...
Je m'en vais
faire un tour...
À mon
ancienne adresse...
Je ne
reconnais plus...
Ni les murs
ni les rues...
Qui ont vu
ma jeunesse...
En haut d'un
escalier...
Je cherche
l'atelier...
Dont plus
rien ne subsiste...
Dans son
nouveau décor...
Montmartre
semble triste...
Et les lilas
sont morts...
La bohème,
la bohème...
On était
jeune, on était fou...
La bohème,
la bohème...
Ça ne veut
plus...
~ Rien dire
~
~ Du tout ~
---oooOooo---
---oooOooo---
CAPRI C’EST
FINI -
HERVE VILLARD
Nous n'irons
plus jamais
Où tu
m'as dit, je
t'aime
Nous n'irons
plus jamais
Tu viens
de décider
Nous n'irons
plus jamais
Ce soir,
c'est plus la
peine
Nous n'irons
plus jamais
Comme les autres années
Capri c'est
fini
Et dire
que c'était la ville
de mon premier
amour
Capri c'est
fini
Je ne
crois pas que
j'y retournerai un
jour.
Capri c'est
fini
Et dire que
c'était la ville de mon premier amour
Capri c'est
fini
Je ne crois
pas que j'y retournerai un jour.
Nous n'irons
plus jamais
Où tu m'as
dit, je t'aime
Nous n'irons
plus jamais
Comme les
autres années
Parfois je
voudrais bien
Te dire,
recommençons
Mais je
perds le courage
Sachant
qu'tu diras non.
Capri c'est
fini
Et dire
que c'était la
ville de mon
premier amour
Capri c'est
fini
Je ne
crois pas que
j'y retournerai un
jour.
Capri c'est
fini
Et dire
que c'était la ville
de mon premier
amour
Capri c'est
fini
Je ne
crois pas que
j'y retournerai un
jour.
Nous n'irons
plus jamais
Et je
me souviendrai
Du premier
rendez-vous
Que tu
m'avais donné
Nous n'irons
plus jamais
Comme les
autres années
Nous n'irons
plus jamais,
Plus jamais,
plus jamais
Capri
c'est fini
Et dire
que c'était la ville
de mon premier
amour
Capri c'est
fini
Je ne
crois pas que
j'y retournerai un
jour.
Capri c'est
fini
Et dire que
c'était la ville
de mon premier
amour
Capri c'est
fini
Je ne crois
pas que j'y
retournerai un jour.
---oooOooo---
---oooOooo---
LE MÉTÈQUE – Georges
MOUSTAKI
Avec ma gueule de métèque,
De juif errant, de
pâtre Grec,
Et mes cheveux aux
quatre vents.
Avec mes yeux tout
délavés
Qui me donnent l'air
de rêver,
Moi qui ne rêve plus
souvent...
Avec mes mains de
maraudeur,
De musicien et de
rôdeur,
Qui ont pillé tant
de jardins,
Avec ma bouche qui a
bu,
Qui a embrassé et
mordu
Sans jamais assouvir
sa faim...
Avec ma gueule de
métèque,
De juif errant, de
pâtre Grec,
De voleur et de
vagabond.
Avec ma peau qui
s'est frottée
Au soleil de tous
les étés,
Et tout ce qui
portait jupon...
Avec mon cœur qui a
su faire
Souffrir autant
qu'il a souffert,
Sans pour cela faire
d'histoire.
Avec mon âme qui n'a
plus
La moindre chance de
salut
Pour éviter le
purgatoire...
Avec ma gueule de
métèque,
De juif errant, de
pâtre Grec,
Et mes cheveux aux
quatre vents,
Je viendrai, ma
douce captive,
Mon âme sœur, ma
source vive,
Je viendrai boire
tes vingt ans...
Et je serai Prince
de sang,
Rêveur ou bien
adolescent,
Comme il te plaira
de choisir...
Et nous ferons de
chaque jour
Toute une éternité
d'amour
Que nous vivrons à
en mourir...
Et nous ferons de
chaque jour
Toute une éternité
d'amour
Que nous vivrons à
en mourir...
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